L’exemplarité énergétique d’une région aux multiples contrastes

L’Auvergne-Rhône-Alpes est une région riche en nature, culture, identité et tourisme, mais aussi en contrastes. Cette diversité découle de sa morphologie et de sa taille, représentant 13 % de la France, ce qui entraîne de fortes disparités départementales et diverses problématiques de rénovation énergétique. Dans la région, 19 % des logements sont économes en énergie tandis que 13 % sont considérés comme des passoires énergétiques.

Cependant, cette région se distingue par sa capacité à aborder ces problématiques de manière proactive, non seulement dans ses métropoles de Lyon et Grenoble, mais aussi sur l’ensemble de son territoire. Tous les secteurs, qu’ils soient résidentiels ou tertiaires, sont concernés par l’amélioration de la performance énergétique.

L’Auvergne-Rhône-Alpes, véritablement prometteuse, se distingue depuis plusieurs années par des actions environnementales significatives et une réelle cohésion territoriale, surmontant les disparités existantes. Aujourd’hui, elle se positionne parmi les régions offrant la meilleure qualité de vie, attirant près de 2 % de nouveaux habitants chaque année, un taux bien supérieur à la moyenne nationale qui est inférieure à 1 %.

L’exemplarité énergétique d’une région aux multiples contrastes

L’Auvergne-Rhône-Alpes est une région riche en nature, culture, identité et tourisme, mais aussi en contrastes. Cette diversité découle de sa morphologie et de sa taille, représentant 13 % de la France, ce qui entraîne de fortes disparités départementales et diverses problématiques de rénovation énergétique. Dans la région, 19 % des logements sont économes en énergie tandis que 13 % sont considérés comme des passoires énergétiques.

Cependant, cette région se distingue par sa capacité à aborder ces problématiques de manière proactive, non seulement dans ses métropoles de Lyon et Grenoble, mais aussi sur l’ensemble de son territoire. Tous les secteurs, qu’ils soient résidentiels ou tertiaires, sont concernés par l’amélioration de la performance énergétique.

L’Auvergne-Rhône-Alpes, véritablement prometteuse, se distingue depuis plusieurs années par des actions environnementales significatives et une réelle cohésion territoriale, surmontant les disparités existantes. Aujourd’hui, elle se positionne parmi les régions offrant la meilleure qualité de vie, attirant près de 2 % de nouveaux habitants chaque année, un taux bien supérieur à la moyenne nationale qui est inférieure à 1 %.

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Logements économes 6ème sur 13 régions de France
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Sociétés du bâtiment 9ème sur 13 régions de France
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Prime CEE (2015-2019) 2ème sur 13 régions de France
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Le top du territoire Transition énergétique
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Logements économes 6ème sur 13 régions de France
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Sociétés du bâtiment 9ème sur 13 régions de France
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Prime CEE (2015-2019) 2ème sur 13 régions de France
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Le top du territoire Transition énergétique

Focus sur l’amélioration de la performance énergétique en Auvergne-Rhône-Alpes

En plus des dispositifs nationaux, de nombreuses aides locales pour l’amélioration de la performance énergétique des logements sont offerts aux propriétaires à Toulouse et en Occitanie. Présentation de ces aides à la rénovation énergétiques spécifiques à la région.

Focus sur l’amélioration de la performance énergétique en Auvergne-Rhône-Alpes

En plus des dispositifs nationaux, de nombreuses aides locales pour l’amélioration de la performance énergétique des logements sont offerts aux propriétaires à Toulouse et en Occitanie. Présentation de ces aides à la rénovation énergétiques spécifiques à la région.

L’Auvergne-Rhône-Alpes : un modèle de territoire à énergie positive pour une croissance verte

Contrairement à d’autres régions où la mise en œuvre des leviers de croissance verte peut rencontrer des difficultés, l’Auvergne-Rhône-Alpes s’illustre par une stratégie globale de transition énergétique déjà bien établie. Elle se distingue en tant que TEPOS-CV (Territoire à Énergie Positive pour la Croissance Verte), démontrant une réelle proactivité dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

La région soutient activement les territoires qui mènent des actions exemplaires dans le domaine de la transition énergétique. Cette aide couvre un large éventail de domaines, tels que la rénovation des bâtiments, la mobilité verte et le développement des énergies renouvelables.

Les objectifs de la région sont clairs, avec des indicateurs précis pour mesurer les progrès : surface de bâtiments publics et privés rénovés, chaudières au fioul remplacées, projets de géothermie lancés, et quantité d’énergie produite à partir de la ressource bois local, entre autres.

Cet engagement se reflète dans un programme global structuré et durable, qui met en avant l’excellence de la région en matière de transition énergétique.

De plus, cet engagement est intégré dans le Schéma Régional d’Aménagement, de Développement Durable et d’Égalité des Territoires (SRADDET). Les actions prévues visent notamment à augmenter de 54 % la production d’énergies renouvelables et à réduire la consommation énergétique par habitant de 23 % d’ici à 2030.

L’Auvergne-Rhône-Alpes : un modèle de territoire à énergie positive pour une croissance verte

Contrairement à d’autres régions où la mise en œuvre des leviers de croissance verte peut rencontrer des difficultés, l’Auvergne-Rhône-Alpes s’illustre par une stratégie globale de transition énergétique déjà bien établie. Elle se distingue en tant que TEPOS-CV (Territoire à Énergie Positive pour la Croissance Verte), démontrant une réelle proactivité dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

La région soutient activement les territoires qui mènent des actions exemplaires dans le domaine de la transition énergétique. Cette aide couvre un large éventail de domaines, tels que la rénovation des bâtiments, la mobilité verte et le développement des énergies renouvelables.

Les objectifs de la région sont clairs, avec des indicateurs précis pour mesurer les progrès : surface de bâtiments publics et privés rénovés, chaudières au fioul remplacées, projets de géothermie lancés, et quantité d’énergie produite à partir de la ressource bois local, entre autres.

Cet engagement se reflète dans un programme global structuré et durable, qui met en avant l’excellence de la région en matière de transition énergétique.

De plus, cet engagement est intégré dans le Schéma Régional d’Aménagement, de Développement Durable et d’Égalité des Territoires (SRADDET). Les actions prévues visent notamment à augmenter de 54 % la production d’énergies renouvelables et à réduire la consommation énergétique par habitant de 23 % d’ici à 2030.

En Auvergne-Rhône-Alpes, l’indépendance énergétique passe par le développement du bois

Grâce à ses nombreux massifs montagneux et à son relief varié, l’Auvergne-Rhône-Alpes se classe comme la deuxième région en France en termes de surface forestière, couvrant 37 % de son territoire. Elle est également la première région en matière d’emplois dans la filière bois. Le développement de cette filière est crucial pour la région, qui est déjà autosuffisante à hauteur de 31 % pour sa consommation de stères de bois.

Cependant, la majorité des récoltes est constituée de bois d’œuvre, loin devant le bois d’industrie et le bois énergie, ce dernier étant utilisé pour le chauffage par biomasse. En Isère, l’écart est le moins marqué : 199 000 m³ de bois énergie contre 225 000 m³ de bois d’œuvre. Le Puy-de-Dôme, avec son massif central, est le plus grand producteur de bois, avec 1 276 000 m³ récoltés, soit le double de la Haute-Loire, qui se classe au deuxième rang avec 607 000 m³.

En Auvergne-Rhône-Alpes, l’indépendance énergétique passe par le développement du bois

Grâce à ses nombreux massifs montagneux et à son relief varié, l’Auvergne-Rhône-Alpes se classe comme la deuxième région en France en termes de surface forestière, couvrant 37 % de son territoire. Elle est également la première région en matière d’emplois dans la filière bois. Le développement de cette filière est crucial pour la région, qui est déjà autosuffisante à hauteur de 31 % pour sa consommation de stères de bois.

Cependant, la majorité des récoltes est constituée de bois d’œuvre, loin devant le bois d’industrie et le bois énergie, ce dernier étant utilisé pour le chauffage par biomasse. En Isère, l’écart est le moins marqué : 199 000 m³ de bois énergie contre 225 000 m³ de bois d’œuvre. Le Puy-de-Dôme, avec son massif central, est le plus grand producteur de bois, avec 1 276 000 m³ récoltés, soit le double de la Haute-Loire, qui se classe au deuxième rang avec 607 000 m³.