Fiche BAR-TH-145 : rénovation globale d’un bâtiment résidentiel collectif
L’approche globale vise à définir et à mettre en œuvre un ensemble de travaux optimaux d’un point de vue technico-économique. Cette opération ne peut pas être combinée avec d’autres interventions pouvant donner lieu à des certificats d’économie d’énergie pour les travaux relatifs au chauffage, à la production d’eau chaude sanitaire, à la ventilation, à l’isolation de l’enveloppe du bâtiment ou aux systèmes d’automatisation et de contrôle du bâtiment.
Fiche BAR-TH-145 : rénovation globale d’un bâtiment résidentiel collectif
L’approche globale vise à définir et à mettre en œuvre un ensemble de travaux optimaux d’un point de vue technico-économique. Cette opération ne peut pas être combinée avec d’autres interventions pouvant donner lieu à des certificats d’économie d’énergie pour les travaux relatifs au chauffage, à la production d’eau chaude sanitaire, à la ventilation, à l’isolation de l’enveloppe du bâtiment ou aux systèmes d’automatisation et de contrôle du bâtiment.
3 catégories de pompes à chaleur
Pour les travaux entrepris jusqu’au 31 décembre 2020 :
Le professionnel doit être titulaire soit d’une certification « Offre globale », soit d’un signe de qualité spécifique correspondant à la catégorie de travaux.
Pour les travaux débutant à partir du 1ᵉʳ janvier 2021 :
Le professionnel doit posséder un signe de qualité conforme aux exigences spécifiées.
Pour toutes les opérations :
Une étude énergétique doit être réalisée avant les travaux de rénovation, en conformité avec les dispositions légales en vigueur. Cette étude doit être effectuée par un prestataire qualifié. Selon la période d’engagement des travaux, cela implique soit une entreprise certifiée « Offre globale » (pour les travaux effectués jusqu’au 31 décembre 2020), soit une entreprise disposant d’un signe de qualité approprié (à partir du 1ᵉʳ janvier 2021).
Pour démontrer la conformité aux critères de performance énergétique, des documents spécifiques doivent être fournis, y compris l’étude énergétique détaillant les consommations avant et après les travaux, ainsi que toute mise à jour éventuelle de cette étude. Ces documents doivent être datés, signés par les prestataires concernés, et inclure des informations sur les consommations conventionnelles et les émissions de CO2 avant et après la rénovation, ainsi que la surface habitable du bâtiment.
3 catégories de pompes à chaleur
Pour les travaux entrepris jusqu’au 31 décembre 2020 :
Le professionnel doit être titulaire soit d’une certification « Offre globale », soit d’un signe de qualité spécifique correspondant à la catégorie de travaux.
Pour les travaux débutant à partir du 1ᵉʳ janvier 2021 :
Le professionnel doit posséder un signe de qualité conforme aux exigences spécifiées.
Pour toutes les opérations :
Une étude énergétique doit être réalisée avant les travaux de rénovation, en conformité avec les dispositions légales en vigueur. Cette étude doit être effectuée par un prestataire qualifié. Selon la période d’engagement des travaux, cela implique soit une entreprise certifiée « Offre globale » (pour les travaux effectués jusqu’au 31 décembre 2020), soit une entreprise disposant d’un signe de qualité approprié (à partir du 1ᵉʳ janvier 2021).
Pour démontrer la conformité aux critères de performance énergétique, des documents spécifiques doivent être fournis, y compris l’étude énergétique détaillant les consommations avant et après les travaux, ainsi que toute mise à jour éventuelle de cette étude. Ces documents doivent être datés, signés par les prestataires concernés, et inclure des informations sur les consommations conventionnelles et les émissions de CO2 avant et après la rénovation, ainsi que la surface habitable du bâtiment.
Normes et processus pour l’évaluation énergétique BAR-TH-145
Normes et processus pour l’évaluation énergétique BAR-TH-145
Critères et étude de performance énergétique
Les travaux doivent permettre d’atteindre une performance énergétique globale minimale du bâtiment, déterminée par l’étude énergétique, qui satisfait à deux critères principaux :
Qualifications du prestataire pour l’étude énergétique
Garantir une évaluation énergétique fiable et conforme aux normes légales est essentiel pour assurer l’efficacité des travaux de rénovation. Pour ce faire, les qualifications du prestataire chargé de réaliser l’étude énergétique sont d’une importance primordiale.
Documents justificatifs requis pour l’opération
Les documents justificatifs spécifiques à l’opération comprennent :
Nos experts vous répondent au 0 800 15 75 15
Nos experts vous répondent au
0 800 15 75 15
Actualisation de l’étude énergétique en cas de travaux divergents
Lorsque les travaux réalisés diffèrent des recommandations initiales, il est nécessaire d’actualiser l’étude énergétique en fonction des travaux effectivement exécutés.
La synthèse de cette étude, ainsi que sa mise à jour éventuelle, doivent être datées et signées par les prestataires responsables des travaux. Ces documents doivent inclure les éléments suivants, essentiels pour évaluer la performance énergétique du bâtiment :
- Consommation conventionnelle (en kWh/m².an) du bâtiment avant et après les travaux de rénovation, en distinguant l’énergie primaire de l’énergie finale.
- Émissions de CO2 exprimées en kilogrammes équivalent CO2 par mètre carré par an, avant et après les travaux.
- Surface habitable du bâtiment rénové, exprimée en mètres carrés (m²).
Actualisation de l’étude énergétique en cas de travaux divergents
Lorsque les travaux réalisés diffèrent des recommandations initiales, il est nécessaire d’actualiser l’étude énergétique en fonction des travaux effectivement exécutés. La synthèse de cette étude, ainsi que sa mise à jour éventuelle, doivent être datées et signées par les prestataires responsables des travaux. Ces documents doivent inclure les éléments suivants, essentiels pour évaluer la performance énergétique du bâtiment :
- Consommation conventionnelle (en kWh/m².an) du bâtiment avant et après les travaux de rénovation, en distinguant l’énergie primaire de l’énergie finale.
- Émissions de CO2 exprimées en kilogrammes équivalent CO2 par mètre carré par an, avant et après les travaux.
- Surface habitable du bâtiment rénové, exprimée en mètres carrés (m²).
Calcul des Certificats d’Économie d’Énergie
Le montant des certificats d’économie d’énergie (CEE) attribués à un projet de rénovation est déterminé par un calcul précis qui prend en compte plusieurs paramètres. Voici comment les économies réalisées sont estimées et converties en certificats.
La formule de calcul repose sur la différence entre la consommation conventionnelle initiale (Cef initial) et la consommation conventionnelle après rénovation (Cef projet) en énergie finale. Cette différence est multipliée par la surface habitable du bâtiment, avant et après les travaux, exprimée en mètres carrés.
Formule de Calcul des Certificats d’Économie d’Énergie (CEE) :
Montant des CEE = Shab × 18 × ( Cef initial − Cef projet )
Montant des CEE = Shab × 18 × (Cef initial − Cef projet)
Shab représente la surface habitable du bâtiment rénové.
Le coefficient 18 est une constante déterminée par les réglementations en vigueur.
Il est important de noter que ce calcul est effectué sans déduction de la production d’électricité autoconsommée ou exportée, afin de fournir une estimation précise des économies d’énergie réalisées uniquement grâce aux travaux de rénovation.
Cette méthode de calcul, référencée dans la fiche BAR-TH-145, permet d’évaluer objectivement les performances énergétiques du bâtiment rénové et de convertir ces améliorations en certificats d’économie d’énergie. Cela contribue à encourager les initiatives de rénovation énergétique et à soutenir les actions en faveur de la transition écologique.
Calcul des Certificats d’Économie d’Énergie
Le montant des certificats d’économie d’énergie (CEE) attribués à un projet de rénovation est déterminé par un calcul précis qui prend en compte plusieurs paramètres. Voici comment les économies réalisées sont estimées et converties en certificats. La formule de calcul repose sur la différence entre la consommation conventionnelle initiale (Cef initial) et la consommation conventionnelle après rénovation (Cef projet) en énergie finale. Cette différence est multipliée par la surface habitable du bâtiment, avant et après les travaux, exprimée en mètres carrés.
Formule de Calcul des Certificats d’Économie d’Énergie (CEE) :
Montant des CEE = Shab × 18 × ( Cef initial − Cef projet )
Montant des CEE = Shab × 18 × (Cef initial − Cef projet)
Shab représente la surface habitable du bâtiment rénové. Le coefficient 18 est une constante déterminée par les réglementations en vigueur.
Il est important de noter que ce calcul est effectué sans déduction de la production d’électricité autoconsommée ou exportée, afin de fournir une estimation précise des économies d’énergie réalisées uniquement grâce aux travaux de rénovation. Cette méthode de calcul, référencée dans la fiche BAR-TH-145, permet d’évaluer objectivement les performances énergétiques du bâtiment rénové et de convertir ces améliorations en certificats d’économie d’énergie. Cela contribue à encourager les initiatives de rénovation énergétique et à soutenir les actions en faveur de la transition écologique.
Calcul des Certificats d’Économie d’Énergie
Le montant des certificats d’économie d’énergie (CEE) attribués à un projet de rénovation est déterminé par un calcul précis qui prend en compte plusieurs paramètres. Voici comment les économies réalisées sont estimées et converties en certificats. La formule de calcul repose sur la différence entre la consommation conventionnelle initiale (Cef initial) et la consommation conventionnelle après rénovation (Cef projet) en énergie finale. Cette différence est multipliée par la surface habitable du bâtiment, avant et après les travaux, exprimée en mètres carrés.
Formule de Calcul des Certificats d’Économie d’Énergie (CEE) :
Montant des CEE = Shab × 18 × ( Cef initial − Cef projet )
Montant des CEE = Shab × 18 × (Cef initial − Cef projet)
Shab représente la surface habitable du bâtiment rénové. Le coefficient 18 est une constante déterminée par les réglementations en vigueur.
Il est important de noter que ce calcul est effectué sans déduction de la production d’électricité autoconsommée ou exportée, afin de fournir une estimation précise des économies d’énergie réalisées uniquement grâce aux travaux de rénovation. Cette méthode de calcul, référencée dans la fiche BAR-TH-145, permet d’évaluer objectivement les performances énergétiques du bâtiment rénové et de convertir ces améliorations en certificats d’économie d’énergie. Cela contribue à encourager les initiatives de rénovation énergétique et à soutenir les actions en faveur de la transition écologique.